Bijouterie du clair de lune
d’un ésotérisme musical selon l’alchimie spirituelle du yi king
UN ENTRAINEMENT PRATIQUE
« Gloire à celui qui n’ayant pas d’idéal sacro-saint
se borne à ne pas trop emmerder ses voisins… »
Georges Brassens.
Chacun dispose d’un langage par mots
et d’un langage par formes,
à la fois Yin et Yang
avec le métalangage universel du yi king, grammaire du Tao.
Il s’agit, d’inclure le nécessaire donc le souhaitable, tant qu’il libère,
sans exclure le travail intérieur de chacun selon son parcours redoublé car partagé.
L’énergie suit la pensée, s’y conforme et produit les précipitations.
Un opérateur est par définition un acteur, un “connaissant”, un initié dans le langage populaire, tandis que dans le langage ésotérique, ce terme désigne, un débutant, un simple d’esprit, un étudiant pour toujours, équilibrant la pratique par la théorie lui correspondant, à l’image de chacun des petits enfants dont parle Jésus dans les Évangiles, et qu’il appelle de ses voeux.
L’opérateur c’est vous, c’est moi, l’Un, l’Autre, le Même, à l’image de l’Illimité résidant en chacun d’entre nous, c’est un homme, ou une femme, ayant la possibilité d‘apprendre à travailler en incluant plutôt qu’en excluant afin de réaliser des actions se situant en dehors des vérités cartésiennes.
Le Conte des Sables
Exercice spirituel n° 1
Exercice spirituel n° 2
Exercice spirituel n°3
Exercice spirituel n° 4
Exercice spirituel n° 5
Exercice spirituel n° 6
Exercice spirituel n° 7
Exercice spirituel n° 8
Exercice spirituel n° 9
Oracle de tarogramme
Dans son propos d’explorer, par la pratique équilibrée par la théorie, les outils et les méthodes de la Science Sacrée, ce blog présente diverses correspondances entre l’Ennéagramme, le Yi King, le Tarot, l’Esotérime musical avec l’idée que ces outils sont et représentent la même chose, la même réalité, la même unité.
Filotao
L’Art bref
Raymond Lulle (1232-1315) pensa et construisit une « machine logique ».
Les théories, sujets et prédicats théologiques étaient organisés en figures géométriques considérées comme parfaites, par exemple, des cercles, des carrés et des triangles.
En actionnant des cadrans, des leviers, des manivelles et en faisant tourner une roue, les propositions et les thèses se déplaçaient sur des guides pour se positionner en fonction de la nature positive (vraie) ou négative (fausse) qui leur correspondait.
D’après Lulle, la machine pouvait démontrer par elle-même la vérité ou la fausseté d’un postulat.