Misérable que je suis, un ivrogne qui s’abreuve
Un assoiffé, ne sait plus quitter cette taverne
A la main une coupe, un vin qui me met à l’épreuve
Cette liqueur coule dans mes veines, trouve ma caverne
Vais-je en finir, et comment m’enfuir, il me faudrait un vaisseau
Pourfendant les mers comme le voyageur légendaire
Combattant monstres, provoquant les sirènes meurtrières
Accroché au mat, le cri sera le même, écorchant les eaux
Ondes violentes, m’envoûtant, je serais elles
Jusqu’aux confins des terres et des mers, je rejoindrais le Ciel
J’ai labouré la terre, le sang en a coulé, elle s’est éventrée
Je ne suis plus, sur les rives, un pays qui me torture
Depuis l’ivresse devient douceur et larmes pures
Puisque cette terre est une autre contrée, je m’y perds
Comme le Chant est obsédant, la folie est à ce prix
Depuis l’aube, jusqu’au coucher, je suis celui qui erre
Je cherche ma Bien-Aimée, mon cœur me l’a pris
Ma Beauté, mon âme, pourquoi se cache-t-elle, me fait-elle languir?
Je vais indigent, ahuri, grattant le sol, mêlant mes doigts à la poussière
J’embrasse le chien qu’elle a caressé, tandis que moi, je vais mourir
Tout est elle, son parfum, les traces de ses pas, ses cheveux au vent
Le bleu de son horizon, je suis fou, car en cet ailleurs, je suis son parterre
Où es-tu, ma Bien-Aimée, mes doigts accrochés aux voiles de l’océan
Qu’as-tu fait de ton fiancé, il soupire et fait rire les enfants
Je me cache, les yeux fiévreux, car tu as fait de moi ton éploré amant.
Naïla
Bonjour
Idem,
A voir l’extrême bonté de la grace,
de l’amabilité, de la « convivialité »
Quel enfer me ment H7 H14 H21 H28 H35 H42 H49 H56 H63
Se donner la peine –
Entre Boire et Déboire
Entre Aspirer et Conspirer
Entre bu et but
Entre Ubu et Père Ubu
Entre un but et un des buts
La terre n’échappe pas au ciel H0
Oeil levé, soleil le vent H50
Boire du regard H64
Garde du regard au milieu des conditions H63
A la lumière de l’éternité de la fin H1
Folie contrôlée H49
Observation du traqueur http://wengu.tartarie.com/wg/wengu.php?lang=fr&l=Yijing&no=20
Rêve défunt H51
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Bonjour à tous
Bien à chacun et à tous
Souriante journée
Merci beaucoup
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Belle soirée.
Merci Beaucoup.
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Je devais être en hypo ou en hyper
ce jour-là va savoir . .
Les joies du hasard virtuel
Retrouver ces jacasseries impromptues
pour d’autres raisons
d’autres oraisons . .
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Je me suis souvent ennuyée en ce monde. C’est pour cela que je suis partie sur la route… en avant toute !
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Double mouvement en avant
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Bonjour Curare
Autant sourire à ce qui aura pu être et qui n’a pas été
entre Joie du hasard virtuel et Chevalerie relationnelle.
La joie est une sagesse particulière
Le sourire est une de sa technique particulière
Le Hasard virtuel résulte de l’état ordinaire de la conscience
qui accepte que la parole est d’argent et le silence est d’or.
Cet état correspond à un état de Surveillance virtuelle
qui se change en un état de Chevalerie relationnelle
dès qu’il est compris que Dieu Argent n’a été créé
que pour détruire l’art et les gens
C’est à Sourire ensemble que demeure le meilleur de tout
Bien à toi
Souriante jounée
Merci beaucoup
,
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Je m’abreuve d’autres maux parfois
Parfois par ennui –
En attendant je ne sais ma foi
Comme 1 belle de nuit______
(Je trouve que cette fille (jeune hélas) a eu du cran de parler de son alcoolisme larvé au quotidien-)
Si je m’essaye à l’ivrognerie, cela ne me réussit pas-
Plus je bois moins j’écris –
Mes hommages du soir ________ocanocean-
C’est vous dire, si je bois !
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En cette nuit,
Je bois ma foi
Ivre d’elle, j’écris aussi
Belle rare, ne m’en prive pas
Je n’ai cure de ce vin
Même si ce n’est que mots
Le jour est aussi Beauté, enfin
Te lire, relie l’espoir, sourire de l’Eau
De la rage, à la paix, il y a courage!
Aimer l’âme qui se boit, fait partie de mon adage.
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http://www.vice.com/fr/read/alcoolisme-ordinaire-293
« Savez-vous bien que c’est qu’aimer ?
C’est mourir en soi pour revivre en autrui. »
de Honoré d’Urfé _Extrait de L’astrée
j’ai connu le gout du bon vin
__________________Alcools_________________
Je me suis enchaînée d’un unique tourment
De ne pas boissonner avant le crépuscule
Je n’ai pas transgressé cette loi sans scrupule
Je m’en suis persuadée tous les soirs fièrement
Et depuis chaque jour jusqu’au chavirement
Je guette la noirceur pour la lente bascule
Et si l’astre est tardif il vient sans préambule
J’attends de mon soleil le premier firmament
Je conchie mon alcool ! Je suis la carmélite
L’amante de Félix l’indigeste illicite
L’apostat Dupanloup, l’ordure de mes nuits –
Allez salut l’ami ! Je ne suis pas Marie
L’attrait de ta piété la truie d’une armoirie
Mais la putain sans nom qui se meurt d’ennui –
_____________09/10/2014____________
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Bonjour Curare,
Je n’ai que ceci à te dire: Je ne me distingue pas de toi.
Je suis tout ce que tu es, et moins encore, ma foi.
Merci pour cette poésie que je ne saurais égaler.
Nous sommes tous comme un miroir aux multiples reflets.
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