Cher Dieu, effectivement ce n’est ni à l’un ni à l’autre
que s’adressent ces outils communautaires inclus
dans ces articles mais au même , illimité,
résidant en chacun, quoique accessible uniquement
par dépassement de soi, dépassement de soi, dépassement de soi,
à la fois état, condition ou processus incontournable
au Partage sur la spiritualité et la philosophie.
Or Avoir est à Voir ce que Athée est sans Dieu
Avoir prive de voir
Pas d’erreur, ce qui suit, ce qui précède n’est pas une image,
mais un outil communautaire, offert en partage,
de réflexion contemplative, comme une haute terre,
qu’emprunte toute communication diffusée par un objectif
d’unité de conscience communiquant par sa réflexion
que formule la magie du présent à l’oeuvre jusqu’ici,
en déroulant son tapis-volant dans le quotidien et ses signes.
Or seul un abus de langage
peut définir un athée selon une croyance ou non en Dieu
L’athée n’est pas conscient de sa divinité.
Son état de conscience équivaut à celui de l’animal,
qui lui aussi n’a individuellement aucune conscience
de la sa divinité.
L’athée est un animal intellectuel qui a oublié sa divinité,
si bien qu’il trouve autre chose, que Dieu chez les autres.
Pourquoi et comment rester intact entre le tact et le contact
Chacun est dieu, à la recherche de son identité, de quatre manières distinctes
1. Dieu qui ne sait pas qu’il ne sait pas qu’il est Dieu
2. Dieu qui ne sait pas qu’il sait qu’il est Dieu
3. Dieu qui sait qu’il sait qu’il est Dieu
4. Dieu qui sait qu’il ne sait pas qu’il est Dieu
Or en distinguant sans se méprendre
entre sujet, verbe et objet qu’est-ce une chose,
sans l’identification au moi, moi, moi ?
Une maya l’endroit, une maya l’envers
sans sève héritée, sans cesse vérité, sans sévérité,
Quel tricot stérile, quel enfer me ment !
La bonne nouvelle est qu’un athée est toujours piégé
par son humanisme car celui-ci ne fonctionne qu’avec
l’énergie du dépassement de soi.
Tester l’action centrée
Bien à chacun et à tous
Belle suite, sans fuite et souriante journée
Merci beaucoup
J’aimeJ’aime
J’aimeJ’aime
J’aimeJ’aime
J’aimeJ’aime
J’aimeJ’aime